Isabelle est revenue au Gué avec ses tableaux. Fantastiques, ténébreux, ils dépeignent les animaux qui hantent les lieux après la disparition des habitants.
Le serpent est toujours là, et s’est emparé de la passerelle ; un éléphant surnage alors que la mer s’est réétendue sur les grottes ; la chouette passe à grand coups d’ailes en lançant un cri rauque ; les chauves souris surveillent, sous la Lune...
Merci Isabelle de m’avoir autorisé à partager ces « mondes engloutis ».